Zuckerberg, Musk, Thiel : aux côtés de Trump, la consécration des techno-libertariens défenseurs d’une liberté d’expression «absolue»

SOURCE | 4 months ago


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RÉCIT - La Silicon Valley s’est développée en sacralisant le « free speech » et en refusant toute forme de contrainte étatique. Elle trouve aujourd’hui en Donald Trump un allié de circonstance.

Durant une attaque informatique, lorsque le virus se répand de fichier en fichier et finit de contaminer tout le système, la solution de dernier recours est souvent d’effacer la mémoire de son ordinateur et de réinstaller la dernière sauvegarde qui n’aurait pas été contaminée. Au début du mois, Mark Zuckerberg a prévenu qu’il allait « essayer de remettre à zéro » la politique de modération de Meta (Facebook, Instagram…), effaçant le virus du politiquement correct et de la censure gouvernementale pour retrouver une version assainie de son réseau social. 

Ce revirement, perçu comme une allégeance à Donald Trump dix jours avant son investiture à la Maison-Blanche, marque la victoire des techno-libertariens de Californie qui depuis trente ans ont fait de la liberté d’expression défendue par le premier amendement de la Constitution américaine leur valeur cardinale. « Je suis un absolutiste de la liberté d’expression », avait dit Elon Musk, lors du rachat de Twitter en 2022.

Garant du « free speech »

Pour retrouver cette version « saine » de Facebook, il faut remonter d’après Mark Zuckerberg à un enregistrement du 17 octobre…

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